PRIMEVERE, mars 2007 - février 2008

Ouvert le 6 mars 2007, reprise et suite de l'anti-journal à CONTREJOURS > ROUGES LANGES, octobre 2006 - janvier 2007.

Fermé le 15 février 2008. À suivre dans VALSE NEUVE, février 2008...

* 13 février

Cap de vivre, poème

* 30 janvier

- Walking bass guitar, techniques pour jouer basses, accords, et mélodie simultanément (à la Joe PASS, Lenny BREAU...). Je les utilise sur une basse électrique 6 cordes CORT accordée EADGBE une octave plus bas qu'une guitare "normale". Voir particulièrement les liens en bas de page.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

- Signalés sur mondialisme.org :

Les formes actuelles de la souffrance au travail en système capitaliste, Laura FONTEYN / La classe ouvrière coréenne : de la grève de masse à la précarisation et au reflux, 1987-2007, Loren GOLDNER / Versés à EXPLOITATION
Le Matérialisme historique
, Hermann GORTER, 1908 / Versé à "ULTRA-GAUCHE", CONSEILLISME, "BORDIGUISME", SoB, IS, "Opéraïsme"...

* 24 janvier

Pour Meeting 4 (réunion à Marseille ce week-end) trois nouveaux textes : Accords et divergences, Denis, 19 janvier / Que faisons-nous ?  Roland Simon, 19 janvier / SNCF, une grève et des questions, Louis Martin, 20 janvier

* 13 janvier

Dé à l'amer, poème

* 6 janvier 2008

Visites du site  (statistiques décembre)

* 2 janvier 2008

Lieu dit, poème

* 31 décembre

États des lieux, Roland Simon, site Meeting

* 30 décembre

Sur "Théorie communiste", un questionnement limite... Daredevil, 9 décembre, site l'Anglemort (versé à THÉORIE (sur la) )

La restructuration [du capital] telle qu'en elle-même, Roland Simon 25 septembre, site Meeting (versé à CAPITAL : critique de l'ÉCONOMIE POLITIQUE)

* 10-14 novembre

Visites du site  (statistiques octobre)

* 18 octobre

Visites du site  (statistiques)

* 17 octobre

Misère du temps social, poème

* 16 septembre

Où en suis-je avec la poésie (l'art) ?

Les mots pour le dire (Misère de la raison, 2), poème

* 15 septembre

(Retour aux problématiques de la communisation) Une réaction partielle, mais quand même... Mise à jour de cette intervention, suite à sa publication sur le site Meeting.

* 10 septembre

Misère de la raison, à Max Roach, contre toutes Lumières. Poème.

* 8 septembre

(Retour aux problématiques de la communisation) Une réaction partielle, mais quand même...  aux Propositions (de Roland S.) pour la réunion de Meeting septembre 2007 (posté sur le site Meeting ce jour).

* 7 septembre

Flexisécurité, le grand bluff de la négociation, c'est reparti !

"Les partenaires sociaux ont un devoir de réussite", a estimé François Chérèque (CFDT), selon lequel "le droit du travail n'est qu'une ligne Maginot qui n'a pas empêché la précarité de s'installer, ni les inégalités de se creuser". Jean-Claude Mailly (FO) a exprimé sa "volonté de compromis", mais prévenu que "le patronat doit également jouer le jeu". Pour Bernard Thibault (CGT), syndicats et salariés "sont très conscients de la nécessité de faire évoluer le droit du travail, tout comme les employeurs", mais "toute la question est de savoir dans quelle direction". "Ce sera du donnant-donnant", selon Gabrielle Simon (CFTC)."

Le "jeu", que les syndicats jouent par définition de leur fonction, c'est négocier le droit du travail dans les règles du capital. Éclairage : relire La revendication de « sécurité sociale professionnelle », ou comment la fausse victoire contre le CPE entérinait la vraie défaite du salariat, managée par le trio Etat-patronat- syndicats.

* 3 septembre

Où en suis-je avec la poésie (l'art) ?

J'ouvre une nouvelle série de poèmes, PRINCIPE DE RÉALITÉ, septembre 2007...

* 31 août

Poésie et communisation, poétique et théorie

* 30 août  

Le boucher et la vie chère, poème

* 27 août

COMMUNISATION. Ma réaction, postée chez Meeting, à l'intervention de Damed Condenado, qui évoque de possibles accointances avec mon texte de nov. 2006 COMMUNISATION "troisième courant" : 12 thèses pour dépasser les sainthèses, prothèses et fouthèses

* 19 août

Je n'apprends qu'aujourd'hui la disparition de Max Roach ! (ci-dessous en 1962, avec sa compagne Abbey LINCOLN : « "Je l'ai épousé en 1962. Cet homme, mon seul grand amour, m'a sauvé la vie"

.

.

.

.

Pour le poème ci-dessous, j'avais en tête une rythmique à 9/8, ou si l'on préfère à trois temps ternaires, valse musette ou valse jazz, telle que Max Roach en fit en 1956 Valse Hot, avec Sonny Rollins et Clifford Brown, ou en 1966 le solo intégral de batterie The Drums also waltz (video, long à télécharger), pour le disque Drums Unlimited

« On "Valse Hot," we have an early example of a successful jazz waltz as Rollins offers up one of his most charming themes. Max Roach treats the European three with the dancing elan of an American four, and Rollins responds by floating in between the beat, syncopating in Monkish stabs and thrusts, as Brown answers with the kind of rhythmically complex, sweetly articulated melodic lines that have inspired every modern trumpeter.»

SONNET MUSETTE SONNY SOUPAULT

Musette ah ma musette ah ma muse
Je suis saoûl je suis saoûl sous Soupault
Petit le monde petite ruse
A la rue par les chants dans la peau

Si je suis sans le sou ça m'amuse
Car les gens sont d'argent les suppôts
Et Dali c'est délit dont on use
Être grand c'est petit en un mot

Moi la vie c'est la valse au temps neuf
Où Max Roach à l'envers pour Sonny
Tape aux cymbales lui fait son nid

T'as pas cent balles c'est pour sonner
Les Pâques des fois que les pas que
Je fais dans le sonnet ne me man...

LIVREDEL, 647 ème nuit, avril 1990

* 9 août

Un grand événement littéraire ! J'ai retrouvé le manuscrit de VI LIVRE EN GUERRE, sur un des lieux du crime. 17 ans après, aucun intérêt à en reprendre l'écriture. A sauver des eaux, mes cueillettes systématiques, au Père Lachaise, de prénommées Catherine ou Blanche, de comtesses, de patronymes à noms d'oiseaux ou de hasard, et de morts un Premier avril.

* 7-9 août

12 324 visites du site en juillet, et l'Amérique double la France (Patlotch plus rapide que Sarkozy !)

* 6 Août

Pour mémoire, Hiroshima

* 14 juillet

Sarkozy président populiste

PARIS - Nicolas Sarkozy a expliqué samedi à l'issue du défilé militaire du 14-Juillet sur les Champs-Elysées vouloir "redonner un sens au mot fête populaire, où les gens peuvent venir en famille".
"J'ai voulu que la fête nationale soit une fête populaire, avec un concert gratuit pour les jeunes" dans la soirée sur le Champ-de-Mars, a déclaré le chef de l'Etat sur TF1. "C'est la fête. C'est la fête de l'Europe"."Quand j'ai descendu les Champs-Elysées, il y avait plein de familles avec pleins d'enfants", s'est-il réjoui. "C'est ça la fête", "une fête où on vient avec ses enfants en disant: 'tu vas voir quelque chose de magnifique et, en même temps, je vais te transmettre des valeurs qui ont permis à notre pays d'être ce qu'il est'". Source
AP 14 juillet

Esprit de l'escalier relativement à une remarque du 23 juin, plus bas. Une force de Sarkozy, sa "modernité" politique, son charisme, c'est d'assumer le populisme inhérent à la politique de la démocratie capitaliste dans son évolution actuelle. C'est ce qui lui permet d'intégrer, sans risque, aussi bien des éléments venant de l'extrême-droite lepeniste que de la gauche partisane ou associative. La grande bourgeoisie n'a plus aucun complexe culturel, langagier, aucun scrupule politique avec le populisme, alors que la gauche fait mine de le dénoncer en le chevauchant de façon honteuse, par nécessité institutionnelle et médiatique (le côté spectaculaire de la politique, ou plutôt sa fonction idéologique dans la séparation au sein des rapports sociaux du capitalisme : « Ce qui définit l’exploitation comme contradiction, c’est tout d’abord la séparation : le travail d’un côté comme pure subjectivité ; les conditions du travail de l’autre comme objectivitéSource TC mai 2007). Cf Populisme et démocratisme radical

Roland Simon, dans M. Le Pen et la disparition de l'identité ouvrière, 2002,  définit ainsi le populisme : « Le populisme se définit essentiellement comme la volonté d'abolition, dans la politique, de la distinction entre société et politique. Contre la démocratie, le populisme refuse de reconnaître comme irréductibles les contradictions et les scissions de la société, et d'accepter leur pacification dans l'État par la médiation du citoyen. Pour le populisme, la société est une communauté directement prise en charge et représentée en tant que telle dans l'État. La communauté, c'est le peuple contre les classes sociales d'un côté et contre le citoyen de l'autre. » On voit bien que de la part de Sarkozy, il y a une tentative, pour l'heure réussie, de traverser la frontière entre populisme et formes démocratiques de la politique et des institutions. La présidentialisation renforcée en est un aspect.

Remarque importante : quand elles critiquent le populisme de Sarkozy, la gauche et son extrême le font de l'intérieur de leur idéologie démocratique et politiciste, sur un terrain commun avec leur adversaire politique (de droite). Elles sont donc incapables d'analyser la vertu et la nécessité de cette "gouvernance" néo-populiste dans le cours actuel du capitalisme. Elles ne peuvent en critiquer que la dimension démagogique, la rouerie, réelle mais accessoire. C'est une manière, comme dirait TC, d'« entériner les limites du capitalisme », ici celles de son système politique.

(texte rangé ici)

> Je réintitule A-POÉTIQUE > a-POÉTIQUE jazz poésie peinture...

> J'ajoute le texte de Roalnd SIMON Le Communisme Philosophique à la rubrique HUMANISME (et ANTI--) THÉORIQUE, ETHIQUE et 'MARXISME'

* 10 juillet

La classe prolétaire mise à nu par le prolétaire-même ? > modif

* 8 juillet

Pour une compréhension articulée, polyrythmique, des rubriques de ce site : Individus, praxis, polyrythmie et théorie

* 5 juillet

Une nouvelle rubrique, à contretemps de la chronologie de « à CONTREJOURS», histoire de changer de rythme : LES PENSÉES DE PATLOTCH

* 3 juillet

Fréquentation du site en juin : 11182. Moyenne de 372 par jour, pointe à 916. ??????? Ah ! les aléas revenus des moteurs de recherche, bras faiblement armés par « Je ne cherche pas je trouve » de Picasso. Combien viennent qui repartent sans rien ?

A propos de Trio of Doom que produit John McLaughlin, ce qu'il en disait en 1992 :

So what happened at the "Havana Jam" with the Trio of Doom?

It was such a shame. Tony and Jaco and I had rehearsed here in New York, and what a trio that was! What a pleasure it was to play with them! Tony and Jaco were just so much together. After one rehearsal, we actually went in to record with Joni Mitchell (for her Mingus album). We recorded one tune and then later they wiped Tony and me off the tracks, which I thought was a shame. But rehearsals were happening and we went down to Havana with high expectations. We each had a tune that we brought into the trio. We started off our set with my tune, "Dark Prince," which is an uptempo C minor blues with altered changes. It was really a chance to stretch, but Jaco just threw the music down, walked back to his amp, turned it up to 11 and started playing A major really loud against it. I was looking at Tony like, "what is going on here?" It was nothing like the rehearsals. He did the same to Tony's tune. Then he went out and did his whole audience routine. It was a fiasco. The Bay of Gigs. And I was so mad at Jaco. He came off stage saying, "Yeah, man, that was the shit!" and all this. And I told him, "I have never been more ashamed in my life to be on stage with somebody. That was the worst shit I ever heard in my life. I don't wanna see your face for at least a week." I really was mad at him. Tony was mad at the time but he wouldn't say anything. But he got mad later. We went into the studio later to try to do something but there was a big fight between them... not really a big fight. Tony just flipped out and smashed his drums and walked out of the studio. And that really tore Jaco to strips. So it was evident to me during this period that something was going on with Jaco that didn't really have too much to do with music. There was something happening in his mind. I don't know what it was. It was some kind of idea or image of himself of what he had to do or what he was supposed to do. And it was really crazy. It certainly had nothing to do with what we were playing. It was strictly showtime. It was sad. But you can never take away from what he's done. He single-handedly revolutionized bass guitar... his sound, his chords, his harmonics. I mean, Jaco just blew the shit open. It's amazing what he did to bass guitar. » Source Past, Present & Future by Bill Milkowski

* 1er juilllet

Abbey sings Abbey  

* 23 juin

> Du nouveau pour la rubrique Socialisme ou Barbarie : Textes sur SoB et correspondance de Castoriadis chez Echanges et mouvements

> Face à la classe capitaliste, la politique met à nu le prolétaire français

« "Je ne suis pas un théoricien, moi, je ne suis pas un idéologue. Oh, je ne suis pas un intellectuel ! Je suis quelqu'un de concret", disait Nicolas Sarkozy [interview 20 juin]. Pas un intellectuel, peut-être. Un artiste, sûrement.» Dominique Dhombres, Le Monde du 21 juin

« Le communisme n’est ni politique ni a-politique, mais en effet anti-politiqueTropLoin, La ligne générale, avril 2007

Il est devenu commun de considérer que la droite française a retrouvé une idéologie, et coupé l'herbe sous le pied d'une gauche incapable d'intégrer les évolutions de la société civile. Si l'analyse est formellement juste, elle ne l'est qu'en surface, c'est-à-dire d'un point de vue où la politique, institutionnelle ou non, serait le moteur essentiel de l'évolution sociale.

Plus profondément, c'est la grande bourgeoisie française qui s'est refait une santé politique, sur la base de son existence en soi (réelle) et pour soi (consciente) comme classe du capital *. La figure historique de Nicolas Sarkozy correspond à cette adéquation, et fait écho au parachèvement de la restructuration du capital. C'est aussi la prise en compte du fait que toute la classe politique, y compris la gauche démocrate radicale, a entériné la défaite du programmatisme ouvrier (je retiens là les thèses de Théorie communiste, cf Fin de récré ?). Je pressentais cette adéquation dans un texte de discussion chez Meeting, il y a qq deux ans.

* Lire Sociologie de la bourgeoisie, Repères, Pinçon & Pinçon-Charlot (2001 maj 2006), en ayant en tête quelques aspects de Nicolas Sarkozy, issu de l'immigration aristocrate, maire de Neuilly, et familier des milieux grands capitalistes français. Il ne faut pas oublier le cosmopolitisme réel de la grande bourgeoisie qui a intégré depuis le 19ème siècle le mondialisme de l'aristocratie.

L'intégration gouvernementale d'éléments de programme et de personnalités classées à gauche (Kouchner, Bockel...) ou supposés représenter les invisibles de la République (Dati, Amara, Yade...), n'est pas qu'un artifice pour la vitrine. Si "la gauche" peut s'estimer "trahie", voire "cocue", ce n'est en rien parce qu'elle représenterait des intérêts de classe prolétariens face au capital. C'est l'effet miroir de la racisation a-classiste des problèmes sociaux, leur effacement comme contradictions de classe, auxquels ont préparé depuis deux à trois décennies tous les partis, y compris d'extrême-gauche, en déniant la contradiction essentielle du capitalisme dans l'exploitation, pour la déplacer où elle est visible, dans les dominations particulières et leurs structurations corporatistes.

Il est utile de comparer la figure de Sarkozy et sa "gouvernance" au type de chefs de gouvernements et de discours populistes à l'oeuvre depuis quelques années dans plusieurs pays d'Europe, d'Amérique du Nord et du Sud, et en Asie (au Japon, par exemple, Koizumi Junichiro).

De la même façon, et comme ce fut analysé dans la crise du CPE, la flexisécurité sortie par la fenêtre va rentrer par la grande porte de la négociation consensuelle entre "partenaires sociaux", partis et gouvernement. La montée vers une crise de reproduction mondiale du capital n'en sera pas durablement freinée.

Plus généralement, tous les éléments du parachèvement économique et politique pour la fluidité de l'exploitation globale sont en place. Il n'y a de ce point de vue aucune résistance proprement anticapitaliste, ni aucune perspective pour qu'elle émerge d'un point de vue syndical (revendicatif) ou politique.

Si la vie est bien là, ici et maintenant, avec cette lutte de classe d'apparence unicéphale, le communisme est ailleurs, dans la perspective de la communisation comme révolution sans transition pour abolir les classes.

Symptomatiques, les contorsions démocrates radicales de Philippe Corcuff

Voir Sur le "sarkozysme", le PS, la possibilité d’une gauche radicale et le tragi-comique

Sans relever les nombreuses incohérences de ce texte, et sa visée politicienne autour de la LCR, épiphénoménale, je laisse le lecteur découvrir par lui-même quelques perles idéologiques de ce prestidigitagitateur. Si je considère que Corcuff a raison d'affirmer qu' « il était erroné de lire les résultats du "non" au référendum sur le TCE comme une "victoire de l’antilibéralisme" » (ce que j'avais écrit à l'époque sous les sarcasmes des anti-libéraux, mais chiffres électoraux à l'appui), cela ne l'empêche pas de poursuivre le leurre quand il prétend que « La question de la traduction politique des potentialités antilibérales présentes dans la société française reste donc ouverte pour les gauches radicales après les élections présidentielle et législative ».

Autant dire que la déception sera à la hauteur des croyances fossilisées en la politique, en la démocratie, et en l'humanisme théorique (lire sur ce dernier point Le communisme philosophique).

Interventions classée ici 3) POUR LE "COMMUNISME" Interventions 2006-2007

* 21 juin

C'est l'été. Les indiennes sont entrées chez Sarko, avec leur plumes dans le culte de l'aménagement durable, la Beurette du bas montée et la Blackette attardée de la Négritude pour droits de l'home. « 71% des Français satisfaits du nouveau gouvernement ». Tant va la cruche des banlieues en jupette qu'à la fin elle nous lasse. Autrement dit, RAS. La société française est normisée, communautarisée institutionnellement, la défaite du programmatisme révolutionnaire entérinée. La lutte de classes n'existe pas. Le démocratisme radical a fait faillite ("l'alternative antilibérale de gauche" bégaye ses imbécilités de base). La grande bourgeoisie française, la moins bête du monde, s'est ouvert un boulevard sur la base des renoncements pour un idéologie démocratique commune : la droite habitant la gauche et réciproquement jusqu'en leurs extrêmes politiques, elles habilitent les limites du capital-Etat en débilitant le prolétaire, lui indiquant sa fin à l'insu de son plein gré.

Aucun homme de théâtre, aucun clown, n'aurait pu faire plus vrai que ce moment du vrai de son ivresse. Bonjour tristesse.

Lot de consolation, c'est là que vont commencer les choses sérieuses.

En attendant, faites de la musique, ou à défaut, courez voir le film Gypsy Caravan, un grand moment d'émotion, de "culture", d'amitié !

C'est l'anniversaire de ma compagne

* 15 juin

L'administration d'Etat m'a relégué dans un placard doré, privé de "travail", payé à ne rien foutre sous condition de la fermer sur les relations mafieuses de la haute administration, coupé de tous contacts et informations professionnels, payé à faire mes heures avec le bracelet horaire informatique du badge-tourniquet en miroir du RER, à l'inverse du taulard libéré pour la nuit. C'est la version soft de l'interdit professionnel pour ceux qui posent de mauvaises questions.

Le capital, c'est le salariat, le temps compté, sa discipline prévalant parfois, idéologiquement, sur son rapport en valeur (c'est ainsi qu'on importe officiellement dans l'administration française, "benchmarking" décalé de quinze ans, le management en vigueur chez Dassault). Les collègues compatissent, les syndicats sont solidaires -ce qui est mieux que rien, et fait toujours plaisir- sous condition de dénoncer la répression juppo-sarkoziste, ce qui n'a aucun intérêt que de jouer sur le terrain de l'adversaire en évacuant tout enjeu de classe tenant à la prolétarisation accéléré des fonctionnaires (évitant donc de remettre en cause l'Etat et l'idéologie du "service public" citoyen, participatif, etc. Entériner les limites du capital-Etat, comme dit l'autre, très peu pour moi.

En attendant mieux (quoique...), je fais mes gammes > Djembé 

* 5 juin

> De l'utilisation singulière d'une position de classe (projet) : il s'agirait de renverser, pour un usage personnel, en tant qu'individu singulier, l'analyse théorique de la situation globale dans laquelle nous enserre et nous aliène le capital. Ceci sur la base de mes dernières cogitations théoriques, du point de vue du communisme, cad de la critique radicale, autrement dit de la compréhension radicale de ce qu'on vit en tant que personne, individu singulier. Si ce n'est à penser, il me reste à le formuler clairement, et à l'écrire. Ce serait une sorte de Traité de savoir-vivre à l'usage des jeunes, ou moins, mais pas dégénérés. (à suivre)

> Djembé, chemins de traverses techniques

> En mai, fais ce qui te plaide : record absolu de visites du site, 8217; 265 par jour; France 47%, USA 34%, Belgique, Canada, Allemagne, Suisse, Maroc, Italie, Espagne, Suède, Grande-Bretagne, Sénégal, Pays-Bas, Algérie, Roumanie, Tunisie, Grèce, Danemark, Argentine, Brésil, Côte d'Ivoire, Chine, Portugal, Japon, Pologne, Iran, Norvège, Afrique du Sud, Ukraine... Mercis et salutations.

* 31 mai

DJEMBÉ, quelques sites utiles

* 17 mai

Ne pas oublier ne jeter un oeil aux sites Meeting, L'Anglemort, TropLoin, Mondialisme.org... qui s'enrichissent régulièrement de textes d'archives théoriques ou d'analyses plus actuelles. J'ai la flemme de signaler ce qui me parait le plus fécond.

Il paraît que le site Patlotch est cité par Serge Cosseron dans son « Dictionnaire de l’extrême gauche » (cf Senonevero e ben mal capito).

Sinon, le site, bien qu'en jachère, a continué à recevoir un nombre croissant de visites (cf page d'accueil, de 6000 en janvier à près de 8000 en avril).

Une leçon à méditer : « Dénoncer (les bourgeois, leurs intellectuels, les syndicats, la gauche, le gauchisme, les médias, etc.) ne sert à rien. Quand le bourgeois répète que nous vivons ou allons bientôt vivre de mieux en mieux, il est à peu près inutile de répliquer que la vie empire. » La ligne générale, TropLoin, mai 2007

* 6 mars

La petite chronique, Remarques sur Meeting 2 et 3 

Marx, la logique hégélienne et la contradiction, RS, site L'Anglemort

Versé à DIALECTIQUE & MATÉRIALISME

2 textes à lire en relation avec COMMUNISATION "troisième courant" : 12 thèses pour dépasser les sainthèses, prothèses et fouthèses :

- Les derniers feux du programmatisme prolétarien, Temps Critiques

- TC brûle-t-il ? Théorie communiste

IndexLINCOLN Abbey (vocal, comp, écrivain, actrice) ; ROACH Max (drums, comp, lead)
PLAN DU SITE INDEX